Quand les pudeurs s’envolent et la douleur
en serrant les dents grimace et ricane
entre les replis d’un jour sans saveur
le temps s’assoupit l’insouciance fane.
Quand la douleur se fond dans la saveur
des jours fanés peu à peu ravivés
la caresse enfin d’un sourire effleure
les draps défroissés des temps délavés.
Quand les mots se sont tus et le corps seul
peine à dire et se tord la main saisit
le moindre vent pour ne pas gémir seul
un souffle en fin de vie de poésie.
Quand les pudeurs s’envolent et la douleur
en serrant les dents grimace et ricane
entre les replis d’un jour sans saveur
le temps s’assoupit l’insouciance fane.
Quand la douleur se fond dans la saveur
des jours fanés peu à peu ravivés
la caresse enfin d’un sourire effleure
les draps défroissés des temps délavés.
Quand les mots se sont tus et le corps seul
peine à dire et se tord la main saisit
le moindre vent pour ne pas gémir seul
un souffle en fin de vie de poésie.
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