Certains jours fatigué le printemps n’ose plus
illuminer un monde où les gens s’entre-tuent
il cherche un paravent dont le soleil perclus
usera pour masquer le jour aux yeux obtus.
Ces jours-là vers midi ébahis nous croyons
voir retomber soudain sur le spectacle un voile
adoucissant un peu le noir que nous broyons
mais au ciel obscurci ne brille aucune étoile.
Certains jours fatigué le printemps n’ose plus
illuminer un monde où les gens s’entre-tuent
il cherche un paravent dont le soleil perclus
usera pour masquer le jour aux yeux obtus.
Ces jours-là vers midi ébahis nous croyons
voir retomber soudain sur le spectacle un voile
adoucissant un peu le noir que nous broyons
mais au ciel obscurci ne brille aucune étoile.
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