Menu Fermer

Heures.

L’heure est lente et pourtant
quelquefois s’éveille
un sursaut puis le temps
sur ses deux oreilles
sombre en ces lieux profonds
où le chaos du monde
n’atteint pas les tréfonds
des terreurs vagabondes.

L’heure est longue à qui veille
au chevet d’un enfant
geignant dans son sommeil
qui veille en étouffant
sa peur ses cris l’effroi
de voir venir la fin
du monde qui le broie
de l’enfant mort de faim.

L’heure tarde à venir
d’ouvrir d’autres chemins
de cesser de haïr
d’enfin tendre une main.

Un fanal pourtant luit
fol espoir obstiné
il est presque minuit
à l’aurore étonnés
verrons-nous un soleil
ouvrir enfin le jour
sur les monts et merveilles
d’un présent sans retour ?

L’heure est lente et pourtant
quelquefois s’éveille
un sursaut puis le temps
sur ses deux oreilles
sombre en ces lieux profonds
où le chaos du monde
n’atteint pas les tréfonds
des terreurs vagabondes.

L’heure est longue à qui veille
au chevet d’un enfant
geignant dans son sommeil
qui veille en étouffant
sa peur ses cris l’effroi
de voir venir la fin
du monde qui le broie
de l’enfant mort de faim.

L’heure tarde à venir
d’ouvrir d’autres chemins
de cesser de haïr
d’enfin tendre une main.

Un fanal pourtant luit
fol espoir obstiné
il est presque minuit
à l’aurore étonnés
verrons-nous un soleil
ouvrir enfin le jour
sur les monts et merveilles
d’un présent sans retour ?

Related Posts

Posted in Blog, Poèmes
S’abonner
Notifier de
guest

1 Commentaire
Inline Feedbacks
View all comments
marie des vignes
marie des vignes
26 mai 2025 19:24

Bonsoir, beau poème; amicalement MTH

1
0
Would love your thoughts, please comment.x