Il suffit pour bercer
les fleurs anciennes
dans mon cerveau gercé
qu’un air survienne
au rythme martelé
de sourds tambours
de binious aigrelets
de sabots lourds.
Il suffit pour errer
sur les sentiers du temps
d’un soleil engivré
pas même d’un printemps.
Il suffit pour calmer
les douleurs d’un âge incertain
d’un passé fantasmé
de collines douces et de thym.
Pour survivre au ravage
il suffit d’une ritournelle
du réveil d’une image
et de tourner la manivelle.
Il suffit pour bercer
les fleurs anciennes
dans mon cerveau gercé
qu’un air survienne
au rythme martelé
de sourds tambours
de binious aigrelets
de sabots lourds.
Il suffit pour errer
sur les sentiers du temps
d’un soleil engivré
pas même d’un printemps.
Il suffit pour calmer
les douleurs d’un âge incertain
d’un passé fantasmé
de collines douces et de thym.
Pour survivre au ravage
il suffit d’une ritournelle
du réveil d’une image
et de tourner la manivelle.
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Bonjour très beau poème comme d’habitude bon après-midi amicalement MTH
Merci Marie, bon après-midi à toi aussi