Elle mirait dans les flaques
son reflet trouble
qu’efface la pluie qui claque
et qui redouble.
Elle cherchait dans les yeux
des maisons vides
son visage en camaïeu
aux tons livides.
Elle guettait sur les murs
l’ombre fugace
qu’un soleil soudain capture
et puis efface.
Elle écrivait sur le vent
de ma mémoire
ce que les engoulevents
dictent le soir.
Elle a versé dans mon âme
sa frénésie,
je me consume à sa flamme.
La poésie.
Elle mirait dans les flaques
son reflet trouble
qu’efface la pluie qui claque
et qui redouble.
Elle cherchait dans les yeux
des maisons vides
son visage en camaïeu
aux tons livides.
Elle guettait sur les murs
l’ombre fugace
qu’un soleil soudain capture
et puis efface.
Elle écrivait sur le vent
de ma mémoire
ce que les engoulevents
dictent le soir.
Elle a versé dans mon âme
sa frénésie,
je me consume à sa flamme.
La poésie.
Dernière mise à jour le 1 mois par André
Partager :
- Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur WhatsApp(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Pocket(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Plus
- Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Reddit(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Tumblr(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Telegram(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
très joli!
Merci