Nue sous le ciel muet le gris de tes haillons
s’éparpille et renaît cendre de jours anxieux
flottant au gré du temps tandis que nous bâillons
de fatigue et d’ennui de nous découvrir vieux.
Nue qui parfois te pares au coucher de satins
aux couleurs d’une vie éphémère et fantasque
au plus noir de la nuit qui sait si le matin
tu porteras encore un peu de rose aux basques ?
Nue tes crachins glacés nous coulent aux paupières
nous portons frissonnants le deuil de temps meilleurs
quand aveugles aux noirceurs enfants de l’après-guerre
nous chantions au printemps des airs rêvant d’ailleurs.
Nue sous le ciel muet le gris de tes haillons
s’éparpille et renaît cendre de jours anxieux
flottant au gré du temps tandis que nous bâillons
de fatigue et d’ennui de nous découvrir vieux.
Nue qui parfois te pares au coucher de satins
aux couleurs d’une vie éphémère et fantasque
au plus noir de la nuit qui sait si le matin
tu porteras encore un peu de rose aux basques ?
Nue tes crachins glacés nous coulent aux paupières
nous portons frissonnants le deuil de temps meilleurs
quand aveugles aux noirceurs enfants de l’après-guerre
nous chantions au printemps des airs rêvant d’ailleurs.
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