S’arrêter un instant laisser le vent du monde
ébouriffer les mots que le jour m’a laissés
puis abandonner à la plume vagabonde
le soin de les choisir et d’un peu les dresser.
La pause quotidienne entrouvre la fenêtre
peu à peu se fait jour une image nouvelle
un camaïeu de mots que l’illusion fait naître
et que le jour suivant la pause renouvelle.
S’arrêter un instant laisser le vent du monde
ébouriffer les mots que le jour m’a laissés
puis abandonner à la plume vagabonde
le soin de les choisir et d’un peu les dresser.
La pause quotidienne entrouvre la fenêtre
peu à peu se fait jour une image nouvelle
un camaïeu de mots que l’illusion fait naître
et que le jour suivant la pause renouvelle.
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