Quand me mettrez en terre,
ou au bûcher,
ne pourrai que me taire,
alors sachez
l’étoile que vous fûtes
sur le chemin,
le soutien dans la lutte,
l’espoir humain.
Sachez le goût du vent
sur la peau nue,
l’or du soleil levant,
la fleur menue.
Sachez l’odeur du sel,
l’hiver coupant,
le chant du violoncelle,
le cri du paon.
Quand me mettrez en terre,
ou au bûcher,
je vous laisserai faire,
endimanchés.
Je voudrais simplement
que, ce jour-là,
vous sachiez clairement
que le lilas
toujours renaît.
Quand me mettrez en terre,
ou au bûcher,
ne pourrai que me taire,
alors sachez
l’étoile que vous fûtes
sur le chemin,
le soutien dans la lutte,
l’espoir humain.
Sachez le goût du vent
sur la peau nue,
l’or du soleil levant,
la fleur menue.
Sachez l’odeur du sel,
l’hiver coupant,
le chant du violoncelle,
le cri du paon.
Quand me mettrez en terre,
ou au bûcher,
je vous laisserai faire,
endimanchés.
Je voudrais simplement
que, ce jour-là,
vous sachiez clairement
que le lilas
toujours renaît.
Dernière mise à jour le 2 semaines par André
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André, toujours le lilas refleurira.
En ce moment, nos morts sont encore plus seuls et les proches bien désemparés…
Et comme je n’aime pas présenter mes condoléances, je dis plutôt que la vie continue, autrement. Ceux qui ont lâché prise, sont dans nos coeurs, bien plus présents qu’au cimetière.
e-bisous d’O. en gris
tiens, le chant du violoncelle, voilà qui fait envie 🙂
(le parfum du lilas aussi bien sûr)
J’ai écrit en écoutant au casque les suites de Bach 🙂