Chemins creux à l’odeur de bouse
qu’exalte la moiteur de l’air,
dans la tête un rythme de blues
berce une vague envie de mer.
Les pas absents suivent leur ombre
qui les mène au petit bonheur
çà et là parmi les décombres
d’un avenir accusateur.
Qu’avez-vous fait, gémira-t-il,
de l’air frais, de l’eau, du soleil ?
Vous nous laissez un monde hostile
où plus rien ne nous émerveille.
Les pas absents traînent leur ombre
comme un boulet d’indignité,
le poids du remords qui dénombre
les deuils et les calamités.
Chemins creux à l’odeur de bouse
qu’exalte la moiteur de l’air,
dans la tête un rythme de blues
berce une vague envie de mer.
Les pas absents suivent leur ombre
qui les mène au petit bonheur
çà et là parmi les décombres
d’un avenir accusateur.
Qu’avez-vous fait, gémira-t-il,
de l’air frais, de l’eau, du soleil ?
Vous nous laissez un monde hostile
où plus rien ne nous émerveille.
Les pas absents traînent leur ombre
comme un boulet d’indignité,
le poids du remords qui dénombre
les deuils et les calamités.
Dernière mise à jour le 2 semaines par André
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