Si le vent parlait dirait-il
l’espace infini des pampas
les remous joyeux sur le fil
des fleuves où l’on ne nage pas ?
Dirait-il le vent les désirs
fous que s’inventent les nuages
les larmes quand il faut partir
avec sa vie pour seul bagage ?
Le vent s’il chantait nous dirait
la complainte des jours trop longs
le blues coloré des regrets
la douce joie des étés blonds.
Le vent ne parle ni ne chante
indifférent au monde il court
fuyant les rêves qui le hantent
impalpable entre nos doigts gourds.
Si le vent parlait dirait-il
l’espace infini des pampas
les remous joyeux sur le fil
des fleuves où l’on ne nage pas ?
Dirait-il le vent les désirs
fous que s’inventent les nuages
les larmes quand il faut partir
avec sa vie pour seul bagage ?
Le vent s’il chantait nous dirait
la complainte des jours trop longs
le blues coloré des regrets
la douce joie des étés blonds.
Le vent ne parle ni ne chante
indifférent au monde il court
fuyant les rêves qui le hantent
impalpable entre nos doigts gourds.
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