Le silence aujourd’hui s’est tu
peuplé jadis de mots épars
trilles échos chuchotis fétus
portés par le vent du hasard.
Les mots ont fui l’étang caché
sombre miroir à l’onde vague
où mes vers les allaient pêcher
où ma plume aujourd’hui divague.
Le soir tombe et le monde meurt
par les humains écartelé
les mots pour dire la douleur
désespérés s’en sont allés.
Le silence aujourd’hui s’est tu
peuplé jadis de mots épars
trilles échos chuchotis fétus
portés par le vent du hasard.
Les mots ont fui l’étang caché
sombre miroir à l’onde vague
où mes vers les allaient pêcher
où ma plume aujourd’hui divague.
Le soir tombe et le monde meurt
par les humains écartelé
les mots pour dire la douleur
désespérés s’en sont allés.
Dernière mise à jour le 1 semaine par André
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