Imperceptible au fond des nuits
que l’angoisse étend sur les cœurs
notre fanal doucement luit
espoir de chaleur.
Nous sommes vingt nous sommes cent
unis présents déterminés
à braver les flots menaçants
les vents obstinés.
Enfants perdus vieillards paumés
vivant ici venus de loin
aimant la vie ou mal aimés
victimes ou témoins
Notre fanal vous guidera
vers la rive ou vers quelque gué
vers le bain qui apaisera
vos pieds fatigués.
Nos capitaines nuit et jour
tiennent la barre crient au secours
et quelqu’un d’entre nous toujours
répond qu’il accourt.
Sans nos gestes de réconfort
Il faudrait aux déshérités
S‘asseoir et pleurer sur leur sort
Une éternité.
Imperceptible au fond des nuits
que l’angoisse étend sur les cœurs
notre fanal doucement luit
espoir de chaleur.
Nous sommes vingt nous sommes cent
unis présents déterminés
à braver les flots menaçants
les vents obstinés.
Enfants perdus vieillards paumés
vivant ici venus de loin
aimant la vie ou mal aimés
victimes ou témoins
Notre fanal vous guidera
vers la rive ou vers quelque gué
vers le bain qui apaisera
vos pieds fatigués.
Nos capitaines nuit et jour
tiennent la barre crient au secours
et quelqu’un d’entre nous toujours
répond qu’il accourt.
Sans nos gestes de réconfort
Il faudrait aux déshérités
S’asseoir et pleurer sur leur sort
Une éternité.
Dernière mise à jour le 3 mois par André
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Récit très émouvant, témoignage de celles et de ceux qui, dans l’ombre, travaillent à plus d’humanité au quotidien !
Bonsoir, une très jolie poésie qu’ils sont donc utiles ces femmes et ces hommes des « maraudes » pour les pauvres gens qui sont dehors. Bonne fin de journée Amicalement MTH