Une note bleue
sur la grande aiguille
fait ce qu’elle peut
pour ralentir la vie.
Le temps s’est évanoui
et nous voguons
sur un présent uni,
à l’unisson.
Immobiles, à peine caressés
par les instants
paresseux, fluides, empesés
et insistants,
nos mains se joignent et se séparent,
nos mots se taisent,
nos pas s’arrêtent et redémarrent,
nos yeux se taisent,
hibernant au printemps,
comme entre parenthèses
jusqu’au retour du temps,
assis entre deux chaises.
Une note bleue
sur la grande aiguille
fait ce qu’elle peut
pour ralentir la vie.
Le temps s’est évanoui
et nous voguons
sur un présent uni,
à l’unisson.
Immobiles, à peine caressés
par les instants
paresseux, fluides, empesés
et insistants,
nos mains se joignent et se séparent,
nos mots se taisent,
nos pas s’arrêtent et redémarrent,
nos yeux se taisent,
hibernant au printemps,
comme entre parenthèses
jusqu’au retour du temps,
assis entre deux chaises.
Dernière mise à jour le 2 semaines par André
Partager :
- Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur WhatsApp(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Pocket(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Plus
- Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Reddit(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Tumblr(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Telegram(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
« hibernant au printemps »… nous voilà entre deux saisons, dans le sas 🙂
Exactement