Troupeau perdu, bêlant de haine,
ne vois-tu pas
les abattoirs où l’on te mène ?
N’entends-tu pas
hurler les loups, rire les hyènes
quand les appâts,
les tromperies et les rengaines
guident tes pas
dans la sinistre mise en scène
de ton trépas ?
Troupeau perdu, tu te choisis
les bergers les plus corrompus
sans percevoir le goût moisi
du pain dont tu te crois repu.
Troupeau ne sachant que toi-même,
si sûr de toi,
en lançant tous ces anathèmes
autour de toi,
c’est ta propre mort que tu sèmes,
et sous ton toit,
enseveli sous tes emblèmes,
ne restera
que ton squelette sec et blême,
qui pourrira.
Troupeau perdu, bêlant de haine,
ne vois-tu pas
les abattoirs où l’on te mène ?
N’entends-tu pas
hurler les loups, rire les hyènes
quand les appâts,
les tromperies et les rengaines
guident tes pas
dans la sinistre mise en scène
de ton trépas ?
Troupeau perdu, tu te choisis
les bergers les plus corrompus
sans percevoir le goût moisi
du pain dont tu te crois repu.
Troupeau ne sachant que toi-même,
si sûr de toi,
en lançant tous ces anathèmes
autour de toi,
c’est ta propre mort que tu sèmes,
et sous ton toit,
enseveli sous tes emblèmes,
ne restera
que ton squelette sec et blême,
qui pourrira.
Dernière mise à jour le 2 mois par André
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les imbéciles heureux d’être nés quelque part, chantait l’ami Georges…