Il était une fois la folie meurtrière
et la misère immonde et le besoin d’amour
il était un chemin d’exil et de colère
il était un refuge où souffler quelques jours.
Il était une fois naufragées de l’exil
une enfant et sa mère installées provisoires
les jours s’accumulaient il en vint plus de mille
avec l’enfant parfois nous faisions les devoirs.
Il était tant de fois un sourire échangé
autour des exercices un mot de bienveillance
il n’en reste que le mot qu’elle a rédigé
avec son cœur le jour de sa nouvelle errance.
Il était une fois la folie meurtrière
et la misère immonde et le besoin d’amour
il était un chemin d’exil et de colère
il était un refuge où souffler quelques jours.
Il était une fois naufragées de l’exil
une enfant et sa mère installées provisoires
les jours s’accumulaient il en vint plus de mille
avec l’enfant parfois nous faisions les devoirs.
Il était tant de fois un sourire échangé
autour des exercices un mot de bienveillance
il n’en reste que le mot qu’elle a rédigé
avec son cœur le jour de sa nouvelle errance.
Partager :
- Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook
- Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X
- Cliquez pour partager sur WhatsApp(ouvre dans une nouvelle fenêtre) WhatsApp
- Cliquez pour partager sur Pocket(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Pocket
- Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre) E-mail
- Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Imprimer
- Plus
- Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre) LinkedIn
- Cliquez pour partager sur Reddit(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Reddit
- Cliquez pour partager sur Tumblr(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Tumblr
- Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Pinterest
- Cliquez pour partager sur Telegram(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Telegram
À voir aussi sur Cemondeblog
Related Posts
- No related posts.
Un grand bond en arrière quand je faisais l’aide aux devoirs à des enfants dont les parents parlaient peu ou pas le français…
Pour moi, c’est plutôt le sautillement sur-place 🙂
quelle tristesse! ça me révolte
Triste, oui. Mais quelles rencontres, que d’émotion et d’humanité !
Je sais, je fais aussi de l’aide aux devoirs pour de jeunes réfugiés, le mercredi après-midi et j’admire leur courage