Les temps sont lourds et nos épaules
ploient sous le faix, endolories.
Les amuseurs ne sont plus drôles,
leur soupe indigeste a suri.
Les temps sont mûrs pour les orages;
tonnerre et pluie, cris et passions
crèvent l’azur, frappent avec rage,
nous brisent quoi que nous fassions.
Les temps sont aux mains des barbares,
Satan lui-même tient salon,
n’a même plus besoin de fard
pour ensorceler les frelons
qui achèveront de leurs dards
ceux qui leur tournent les talons.
Les temps sont lourds et nos épaules
ploient sous le faix, endolories.
Les amuseurs ne sont plus drôles,
leur soupe indigeste a suri.
Les temps sont mûrs pour les orages;
tonnerre et pluie, cris et passions
crèvent l’azur, frappent avec rage,
nous brisent quoi que nous fassions.
Les temps sont aux mains des barbares,
Satan lui-même tient salon,
n’a même plus besoin de fard
pour ensorceler les frelons
qui achèveront de leurs dards
ceux qui leur tournent les talons.
Dernière mise à jour le 10 mois par André
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C’est avant ou ce sera l’an prochain…