Voyageur solitaire au creux de mon fauteuil
je me laisse porter par les vents capricieux
le corps n’est plus l’esprit comme une feuille
nonchalant se promène attiré par les cieux.
Du périple au pays insondable des astres
il ne restera rien qu’un désir sur la langue
une vague impression d’échapper au désastre
un étourdissement sur un bateau qui tangue.
Si pourtant quelquefois j’ai quitté le rivage
rejoint d’autres pays d’autres cieux d’autres gens
c’est toujours en rêvant que j’ai fait le voyage
atteint l’eldorado aux visages changeants.
Voyageur solitaire au creux de mon fauteuil
je me laisse porter par les vents capricieux
le corps n’est plus l’esprit comme une feuille
nonchalant se promène attiré par les cieux.
Du périple au pays insondable des astres
il ne restera rien qu’un désir sur la langue
une vague impression d’échapper au désastre
un étourdissement sur un bateau qui tangue.
Si pourtant quelquefois j’ai quitté le rivage
rejoint d’autres pays d’autres cieux d’autres gens
c’est toujours en rêvant que j’ai fait le voyage
atteint l’eldorado aux visages changeants.
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