L’automne pleurniche ou sourit couché sur un tapis de mousse.
… nous qui veillons encore à suivre chaque année l’ancien pèlerinage …
Nous leur dirons adieu, sans rancœur ni tristesse …
C’est feuille à feuille que le jardin tourne les pages des saisons …
Automne et pluie,
quand le silence un peu rugueux, …
L’air soudain plus léger aujourd’hui rend les armes …
Le revoici, le temps serein où le soleil se lève tard …
Quand la Grande Polonaise de Chopin rencontre Claude Léveillée …
Tant d’années, et soudain …
De pelouses en îlots les jardins se promènent …
les souvenirs en vrac d’automnes aux temps enfuis …
À cheval sur l’été dont nous rêvions la grâce nous partions …
Octobre avait sorti son soleil du dimanche …
La campagne sourit sous le soleil d’automne …
Je partirai au printemps renaissant …
Après la torpeur estivale la petite école s’éveille …
Le printemps n’a fait que passer …
Quand soudain l’heure sonne …
la musique donne au printemps des airs d’amours mélancoliques
Dix-sept printemps soudain surgissent …