Quand peu à peu revient, lancinant, le besoin …
École, que fais-tu de nos enfants ?
Antoine Pol écrit un poème,
Georges Brassens le met en musique,
Francis Cabrel l’interprète,
L’indifférence est lourde au cœur de son hôte et de son témoin.
Le jardinier d’Eden a le cœur en jachère …
Ballerine, tes six ans nagent sur un lac, avec les cygnes …
Amour aux étranges méandres …
Avoir été suffirait-il pour être encore un jour de plus ?
Le miroir du vent est sans tain …
Hagards, désemparés, ils errent dans leur vie …
Les ans en couches épaisses …
Les trois mots qu’il eût fallu dire sont restés cois …
Au bois dormant l’on se repose …
Dix ans une vie devant toi …
Faudra-t-il que la joie revienne ?
Octobre avait sorti son soleil du dimanche …
Il y a quelques jours à peine, on s’échangeait des « bonne année ! » et des « meilleurs vœux ! »
Un sourire, et la vie reprend quelque couleur …
Le petit peuple avant l’aurore
s’est égaillé …
Le vrai bonheur c’était hier …