L’horizon s’enchevêtre et le chemin se perd
Sentier sinueux aux horizons incertains …
Tant de si de pourquoi …
Chaleur moite sous la toile,
cri strident du zip qu’on ferme …
Par les sentiers ombreux musent les promeneurs …
L’été soudain nous a rejoints …
Les enchanteurs du quotidien …
Voyageur immobile, tu sais des univers
où la plume d’un autre t’emmène par les yeux …
Derrière la colline aux versants fatigués …
nos gestes de réconfort …
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J’ai demandé à l’été
Les chansons d’aujourd’hui ne me font plus rêver …
L’été nous a pris dans ses bras …
Des eaux dormantes autour de nous guettent leurs proies …
À force de vouloir …
Les saints imaginaires ont envahi décembre …
À dire ainsi le bleu, laverons-nous le gris ?
Blancheur cruelle tu aveugles et tu rends sourd …
Hiver ou été, mieux vaut être riche et en bonne santé que pauvre et malade …
Imperturbable et capricieuse elle tourne.