Nous irons par les chemins creux …
J’aurais voulu d’un ton léger dire la douceur de l’été …
La houle sans hâte du temps …
Jours qui fanent et soleil d’or …
Dans les jardins perdus d’une enfance de mûres …
Livres, ma forêt,
vous poussiez sur les murs …
J’avais bien entendu, ou lu, l’expression « flash mob » …
Rêve-t-il l’enfant pâle étendu immobile ?
Quand nous jouions aux billes …
Nous irons cueillir les myrtilles …
Dans la classe aux odeurs fanées …