Demain je franchirai la frontière invisible …
Dans l’éther méphitique d’un été pourrissant …
Alors ils sont venus …
Au soir d’une journée torride …
Il tente de convertir ses concitoyens à une vision plus empathique, sinon positive, de la Belgique …
Je suis d’un monde vaste et sans cesse changeant …
Sous les mots du silence …
L’horizon s’enchevêtre et le chemin se perd
Les villageois se reconstruisent …
La vie est un ballot de paille, et l’allumette, jamais bien loin …
Ah le bel élan ! Voir tous ces gens fraterniser dans la douleur …
L’horizon sur la crête a des airs de frontière …
Les choses simples quelquefois nous vont à l’âme
Dans la nuit froide hurle le vent …nuit
Tout à la fin du jour quand le soleil s’endort …
Gens d’ici, gens d’ailleurs …
Le ciel nous nargue et l’horizon ne dément rien …
Depuis hier, rien n’a changé …
Vague immobile et turbulente tu creuses ton sillon …
Le silence rythmé de la marée tranquille