Peut-être la nuit n’est-elle
que promesse non tenue …
Le ciel nous nargue et l’horizon ne dément rien …
Le silence est profond
comme la mer …
Lorsque monte la vague …
L’escarpolette
un jour s’envole,
le cœur s’emballe …
Vague immobile et turbulente tu creuses ton sillon …
Le silence rythmé de la marée tranquille
Le fanal d’un îlot à l’écart de la fête guide les naufragés en quête de secours
Sur l’océan des songes aux chatoiements nacrés j’ai largué les amarres …
Sur le dos rond des vagues tu vogues, pêcheur d’hommes …
Et sur l’azur des flots voguait un bateau blanc …
La mer dans sa fureur ne m’a rien révélé
Ce texte est ma participation au jeu d’écriture Agenda ironique …
Quelques pas, sur la terre, laisseront une empreinte fugace …
L’infini du ciel …