Mon premier, le pou l’est.
La mer, quelle merveilleuse découverte …
Notre paisible village aux limites imprécises …
Voler au secours de l’humanité en danger …
L’Europe était notre utopie …
Tant de si de pourquoi …
Le voile effiloché peu à peu disparaît …
Encre bleue sur la page blanche,
qu’importent les mots imparfaits …
Le coucou ne dit plus la complainte des heures …
Notes tombant en pluie rythmée …
Une saison si longue
de vies fanées …
Ils ont la certitude au cœur de leurs boutons que deux ans ne sont rien …
La fleur à peine éclose sait-elle ?
Vannes s’ouvrant sur le déluge
… et puis la vie.
Printemps précoce au goût de fleurs …
Quand la pensée part en voyage
jusqu’où peut l’emmener le train …
la musique donne au printemps des airs d’amours mélancoliques
Jours de printemps, je n’ose …
Derrière la colline aux versants fatigués …
Sur les eaux calmes du printemps …