Notre maison fragile voit ses murs s’effriter …
Le train de nuit roule sa bosse …
Les nuages sont en nous
porteurs d’orages …
Brocéliande intérieure, fantasmée et secrète …
Et qu’emporterons-nous, au jour du grand départ ?
Un écureuil descend soudain de son perchoir, et te regarde …
Le temps qui n’arrange rien avait laissé filer nos liens …
Le vrai bonheur c’était hier …
Chemins creux à l’odeur de bouse qu’exalte la moiteur de l’air …
Ils ne se parlaient pas, se connaissaient à peine …
Les trous dans la tartine sont les pores d’où sourd la gelée d’églantine
Une sérénité troublée par quelques cris …
Quand la vie s’en ira …
Les portes ouvertes des maisons crient à la rue leur désarroi …
Elle vivote l’araignée sous mon plafond vermoulu …
Originally posted 2016-04-22 10:51:46.
Il ne s’agit pas des défauts des mâles …
Le sable fin qui s’écoule entre les doigts du sabliers …
C’est le ciel de juillet qui tomba sur leurs têtes. …
Nous dormirons dans la verdure …
J’irai chercher le réconfort
au creux des combes …