Les oiseaux étonnés ne savent pas encore s’il faut se remettre à chanter …
Lorsque se tait le chant qu’un autre chant s’élève …
J’aurais voulu d’un ton léger dire la douceur de l’été …
Sentier sinueux aux horizons incertains …
Les milliards des requins internationaux s’entassent au soleil
Jonas au fond des mers passager du destin
Jours qui fanent et soleil d’or …
La Semois paressait de méandre en méandre …
Nous sommes surpris des inquiétudes des gens qui nous ont précédés …
Nous avons l’espoir que demain …
La mer, quelle merveilleuse découverte …
Œil bleu de glace ouvert sur l’univers …
L’école peu à peu referme pour l’été …
nos portes sont dans nos maisons dans nos rêves et dans nos viscères …
en pointillé des air d’enfants, des chants d’oiseaux …
Douce pluie d’été de nos souvenirs …
Le voile effiloché peu à peu disparaît …
Les Hommes ont allumé le feu qui les dévore …
Libres nous parlerons …
Toujours les mêmes mots …