Sur les eaux calmes du printemps …
Et pourtant le soleil se lève …
À qui sont-ils, ces doigts volant en escadrilles,
fondant sur les claviers pour distiller la haine …
Les rayons du soleil, fieffés menteurs …
Rayon de soleil d’or,
quand midi sonne …
La porte du bonheur
un matin entr’ouverte …
Quel est donc ce bruit sourd ?
Comment croire au ciel bleu de ce printemps précoce ?
L’escarpolette
un jour s’envole,
le cœur s’emballe …
Le tas de pierres encore a l’air médiéval …
Il y a dans l’air frais comme un parfum de soleil …
Pour peu qu’un jour d’hiver …
Par les grands chemins nous irons …
Les nuages oisifs d’un coup d’aile ont glissé …
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Toute une histoire en une seule fois, c’est trop ! Alors, je lui ai promis qu’à chacune de nos rencontres, j’ajouterai quelques lignes …
Quand le soleil quitte la rive …
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J’ai demandé à l’été
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Flocons épars au gré du vent
glacé,
.
Quand me mettrez en terre,
ou au bûcher,
Quand il fait soleil c’est dimanche