Il y a quelques jours à peine, on s’échangeait des « bonne année ! » et des « meilleurs vœux ! »
La campagne sourit sous le soleil d’automne …
Le silence épais des pierres
des églises fait écho …
Le risque est grand pour notre société d’être submergée par les vagues d’égoïsme.
Mains crispées sur les cartes …
On les savait cupides, cyniques, sans scrupules …
Il flotte entre deux airs …
Voyageurs damnés naufragés errants …
Lorsque se tait le chant qu’un autre chant s’élève …
Il était une fois dans un château …
« Mais qu’est-ce qu’elle fout encore? »
un député européen aussi indigné que moi …
Mettre un visage, une voix, un sourire sur les chiffres glacés des statistiques …
Que n’a-t-on entendu comme commentaires péremptoires à propos de ces hommes fuyant seuls, abandonnant femmes et enfants …
Gens de la Lune et gens sans terre …
Tant de si de pourquoi …
Les choses simples quelquefois nous vont à l’âme
Il y a peu, je m’indignais …
Le calme revenu, la poésie oscille,
son long pas chaloupé me tenant par la main …
« En les nourrissant, vous ne faites qu’en attirer d’autres. »