À quoi bon les mots …
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Nostalgie aux baisers languides,
fantôme de temps abolis,
La vie coulait entre nos doigts …
Les enfants sur la terre s’en vont chantant …
À force de vouloir …
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Froufrous de voix,
saluts discrets
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Je la vois:
Il suffit de se pencher un peu
Pour la voir tapie dans l’herbe
Les gens qui passent ont une histoire …
Ici, les grilles se ferment, là on bouche les puits …
Sur cette terre saccagée poussent des fleurs …
vingt voix vingt femmes chantent …
Una delle mie canzoni italiane preferite.
Prolixe comme pie, la langue avant les dents …
Le froufrou soyeux des voix discrètes parmi les ors …
Serpentin ondulant sans fin, ressac de la mélancolie …
Premiers pas de plage …
D’une voix qui se tait surgit le souvenir …
Octobre avait sorti son soleil du dimanche …
Il y a quelques jours à peine, on s’échangeait des « bonne année ! » et des « meilleurs vœux ! »
La campagne sourit sous le soleil d’automne …