À la table du monde on parlait quatre langues
chacun à sa façon partageant un repas
de nouvelles baroques à la saveur de mangue
où l’on se moque bien de compter les faux pas.
À table peu à peu les langues déliées
ont laissé choir les peurs pour prendre leur envol
mêlant sur le repas leurs ailes dépliées
picorant çà et là quelques brins d’herbe folle.
À la table du monde on reviendra trinquer
goûter aux utopies partagées sans calcul
aux desserts savoureux qui nous auront manqué
où nous partagerons tout l’or des renoncules.
À la table du monde on parlait quatre langues
chacun à sa façon partageant un repas
de nouvelles baroques à la saveur de mangue
où l’on se moque bien de compter les faux pas.
À table peu à peu les langues déliées
ont laissé choir les peurs pour prendre leur envol
mêlant sur le repas leurs ailes dépliées
picorant çà et là quelques brins d’herbe folle.
À la table du monde on reviendra trinquer
goûter aux utopies partagées sans calcul
aux desserts savoureux qui nous auront manqué
où nous partagerons tout l’or des renoncules.
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