Les bottes de sept lieues
du vent,
aux quatre coins des cieux
d’avant
galopent en hurlant
d’effroi,
invisibles uhlans
sans loi.
Aux quatre coins des cieux
d’avant,
nous cherchons quelque vieux
savant
pour conjurer le sort,
avant
de voir la malemort
devant
la couche où sans ressort,
gisants,
nous ne serons que morts
vivants.
Les bottes de sept lieues
du vent,
aux quatre coins des cieux
d’avant
galopent en hurlant
d’effroi,
invisibles uhlans
sans loi.
Aux quatre coins des cieux
d’avant,
nous cherchons quelque vieux
savant
pour conjurer le sort,
avant
de voir la malemort
devant
la couche où sans ressort,
gisants,
nous ne serons que morts
vivants.
Dernière mise à jour le 10 mois par André
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Excellent !
Le thème, la construction du poème, la façon de parler du changement climatique sans y toucher tout en y touchant poétiquement : c’est beau à lire et bon à méditer.
Merci Paul
Brrr … très pessimiste …
L’air du temps …
c’est sans doute pour ça qu’on a inventé Noël 😉
Sauf que, même à Noël, il va falloir faire gaffe …
Cette année, rien n’est normal