Jours de printemps, j’effleure
d’une pensée secrète
la robe de vos fleurs
aux fragrances discrètes.
Jours d’avril révolus
contre vents et marées
le rythme de vos flux
a toujours fissuré
les gelées vermoulues.
Jours de mai qui viendrez
nous rendrez-vous la paix
des enfances nacrées
qui jadis échappaient
aux tristes simagrées ?
Jours de printemps, je n’ose
croire aux espoirs secrets
que les boutons de roses
conçoivent pour après.
Jours de printemps, j’effleure
d’une pensée secrète
la robe de vos fleurs
aux fragrances discrètes.
Jours d’avril révolus
contre vents et marées
le rythme de vos flux
a toujours fissuré
les gelées vermoulues.
Jours de mai qui viendrez
nous rendrez-vous la paix
des enfances nacrées
qui jadis échappaient
aux tristes simagrées ?
Jours de printemps, je n’ose
croire aux espoirs secrets
que les boutons de roses
conçoivent pour après.
Dernière mise à jour le 11 mois par André
Partager :
- Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur WhatsApp(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Pocket(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Plus
- Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Reddit(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Tumblr(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Telegram(ouvre dans une nouvelle fenêtre)