Le sable fin qui s’écoule
entre les doigts du sablier
forme le mont qui s’éboule
de notre jeunesse oubliée.
Sable, pourquoi tes grains
ne sont-ils pas épais ?
Pour retenir le train
qui emporte la paix
d’une illusion d’enfance,
il faudrait, sablier,
une autre corpulence
à tes grains maquillés
en messagers du temps,
comme lui volatils,
menteurs impénitents
vendant aux imbéciles
le regret d’un bonheur
qui jamais n’exista,
fantôme de couleurs
pas vraies pour un iota.
Le sable fin qui s’écoule
entre les doigts du sablier
forme le mont qui s’éboule
de notre jeunesse oubliée.
Sable, pourquoi tes grains
ne sont-ils pas épais ?
Pour retenir le train
qui emporte la paix
d’une illusion d’enfance,
il faudrait, sablier,
une autre corpulence
à tes grains maquillés
en messagers du temps,
comme lui volatils,
menteurs impénitents
vendant aux imbéciles
le regret d’un bonheur
qui jamais n’exista,
fantôme de couleurs
pas vraies pour un iota.
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