Toujours l’enfance veille en nos vieux labyrinthes …
Les doigts dans l’encrier de porcelaine blanche …
J’avais treize ans, Charles chantait …
Le grésil a fondu sur le rétroviseur …
Le temps menteur nous a fait croire depuis longtemps à son existence illusoire …
La main de mon enfance est moite dans la mienne …
Ton enfance est finie depuis si peu de temps …
Quand le gourmand, l’oeil allumé, oublie sa vie …
Des temps enfuis les témoins ne sont plus …
Nous irons par les chemins creux …
Le sable fin qui s’écoule entre les doigts du sabliers …
Originally posted 2016-04-21 15:11:27.
En ces temps où l’on oppose fréquemment les bon « nous » aux mauvais « eux » …
Note à note, la musique …