L’air frais des aurores
arrose la terre
et la main encore
s’étonne et se serre.
Un nuage ému
rosit au levant
et l’âme remue
des émois d’avant.
Sur le ciel nouveau
des images floues
de morts de caveaux
de cœurs que l’on cloue.
Des pieds que la tête
ne dirige plus
des pieds qui s’entêtent
à suivre le flux
du pas matinal,
le présent reflue
et dans l’intervalle
le temps vermoulu
s’effondre en laissant
la paix entrevue
mourir en naissant.
L’air frais des aurores
arrose la terre
et la main encore
s’étonne et se serre.
Un nuage ému
rosit au levant
et l’âme remue
des émois d’avant.
Sur le ciel nouveau
des images floues
de morts de caveaux
de cœurs que l’on cloue.
Des pieds que la tête
ne dirige plus
des pieds qui s’entêtent
à suivre le flux
du pas matinal,
le présent reflue
et dans l’intervalle
le temps vermoulu
s’effondre en laissant
la paix entrevue
mourir en naissant.
Dernière mise à jour le 11 mois par André
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