en pointillé des air d’enfants, des chants d’oiseaux …
Pâques aux cloches carillonnantes …
Les rayons du soleil, fieffés menteurs …
L’air frais des aurores arrose la terre …
Quand au soir de l’année tu voudrais …
Un sapin, quelques boules …
Sur l’océan des songes aux chatoiements nacrés j’ai largué les amarres …
Quand tombe la nuit, bas les masques !
N’aurions-nous donc vécu que pour l’instant furtif … ?