Sous les pavés, la plage,
fredonnait-on en mai.
Sous le masque, un visage:
le verrons-nous jamais ?
Reverrons-nous la plage,
ou faudra-t-il encore
nous armer de courage,
redoubler nos efforts ?
Sous le masque, un sourire,
bienveillant réconfort,
et les mots pour nous dire
l’humanité des corps.
La plage au goût de sel
aujourd’hui nous revient
sous le masque bleu ciel
de nos anges gardiens.
Sous les pavés, la plage,
fredonnait-on en mai.
Sous le masque, un visage:
le verrons-nous jamais ?
Reverrons-nous la plage,
ou faudra-t-il encore
nous armer de courage,
redoubler nos efforts ?
Sous le masque, un sourire,
bienveillant réconfort,
et les mots pour nous dire
l’humanité des corps.
La plage au goût de sel
aujourd’hui nous revient
sous le masque bleu ciel
de nos anges gardiens.
Dernière mise à jour le 11 mois par André
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Ah ! Ces masques ….
on a tous des soupirs d’impuissance en réalisant qu’on n’a pas fini d’en entendre parler …
( C’est original et intéressant de pouvoir visualiser votre écriture ! Bravo pour l’idée ! )
Merci.
L’important n’est pas le masque, mais le sourire bienveillant qu’il n’arrive pas à cacher …
Très joliment dit !
Merci !