Premiers flocons odeur d’hiver …
S’incontrano sulle reti tanti pesci …
La balle roule et le temps court …
Il suffit qu’un air survienne …
Au soir des certitudes le sommeil viendra-t-il rompre la servitude …?
Le ciel a caressé le dos rond des nuages
Passant que sais-tu des maisons … ?
Mer immense aux reflets mouvants …
Vieux murs moussus …
La vie aux méandres douteux te mènera
le long de paysages
D’une voix qui se tait surgit le souvenir …
Battus par les embruns mes quais n’embarquent plus que souvenirs …
La rue a choisi la grisaille …
Ils vont à cheval sur la plume …
L’œil plonge et se perd …
Nue au soleil la place a caché sous ses ombres un banc …
Dans le brouillard des jours enfuis …
Fleurs de papier crépon vos pétales ne fanent …
En larguant les amarres …
Soudain le matin s’ouvre et le monde est nouveau.