Nous irons par les chemins creux …
Notre inertie indigne entrera dans l’histoire.
L’encre bleue de nos noms …
J’eus beau chercher les mots …
Dans le regard, en filigrane, plane un lieu dont il ne reste rien …
Le sable fin qui s’écoule entre les doigts du sabliers …
Sous les mots du silence …
La langue est un voyage …
L’horizon s’enchevêtre et le chemin se perd
Le jour meurt et la paix du soir
s’étend sur nous …
C’est le ciel de juillet qui tomba sur leurs têtes. …
Le voyage est incertain …
Sur la vitre un reflet …
Depuis le temps, Tityre, que sous ton hêtre tu reposes …
Elles ont bouclé les bagages …
Le printemps n’a fait que passer …
De retour sur nos pas anciens …
Nous dormirons dans la verdure …
J’irai chercher le réconfort
au creux des combes …
Le songeur parcourt les absences …