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Labyrinthes.

À peine descendu de ce où mon sang
coulait azur charriant de blonds épis
j’eus beau chercher les ni en un ni en cent
je ne pus approcher cette ardente .

Les yeux brûlés dans le pâle
à tâtons je cherchais ma voix
c’est muet qu’à travers l’opale
je suivais l’improbable voie
qui mènerait jusqu’à l’escale.

A présent mon pas lourd
me conduit la nuit
où le rêve savoure
ses fantasmes gratuits.

À peine descendu de ce rêve où mon sang
coulait couleur azur charriant de blonds épis
j’eus beau chercher les mots ni en un ni en cent
je ne pus approcher cette ardente utopie.

Les yeux brûlés dans le jour pâle
à tâtons je cherchais ma voix
c’est muet qu’à travers l’opale
je suivais l’improbable voie
qui mènerait jusqu’à l’escale.

A présent mon pas lourd
me conduit vers la nuit
où le rêve savoure
ses fantasmes gratuits.

Dernière mise à jour le 4 semaines par André

Posted in Blog, Poèmes
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Chantal
Chantal
18 août 2024 13:48

Enore un beau texte et merci d’avoir rappelé celui de Prévert au sujet des oiseaux. Bon dimanche

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