Le temps toujours pressé ne nous aura laissé
que quelques cailloux blancs dans nos poches trouées.
Parfois l’un d’entre eux tombe, et pour le ramasser
nous restons là, l’œil fixe et la gorge nouée.
Dans la chaussure usée des mémoires vieillies
ces cailloux aiguillonnent le voyageur perdu
qui reprend le chemin des prés et des taillis
où cahotait sa vie un moment suspendue.
Le temps toujours pressé ne nous aura laissé
que quelques cailloux blancs dans nos poches trouées.
Parfois l’un d’entre eux tombe, et pour le ramasser
nous restons là, l’œil fixe et la gorge nouée.
Dans la chaussure usée des mémoires vieillies
ces cailloux aiguillonnent le voyageur perdu
qui reprend le chemin des prés et des taillis
où cahotait sa vie un moment suspendue.
Dernière mise à jour le 2 semaines par André
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Bonsoir André, que c’est bien écrit, bien décrit aussi notre vie qui va tant bien que mal. Bonne soirée Amicalement MTH
Merci Marie, j’ai écrit ce texte sous le coup d’une rencontre surgie du passé à l’improviste, une sorte de petit caillou blanc qui réveille de très bons souvenirs.