Nous avions pourtant bien
choisi de ne rien voir,
banni du quotidien
ces gros nuages noirs.
Le monde et ses misères
étaient trop encombrants:
le virus délétère,
les vagues d’immigrants
et leurs lointaines guerres,
le climat aberrant
aux fièvres meurtrières.
Alors tant bien que mal
on cherchait le secours
de quelques vers bancals
qui reparlaient d’amour.
Mais quand tombe le soir
nos vers de mirliton
n’empêchent plus de voir
l’horrible feuilleton.
Nous avions pourtant bien
choisi de ne rien voir,
banni du quotidien
ces gros nuages noirs.
Le monde et ses misères
étaient trop encombrants:
le virus délétère,
les vagues d’immigrants
et leurs lointaines guerres,
le climat aberrant
aux fièvres meurtrières.
Alors tant bien que mal
on cherchait le secours
de quelques vers bancals
qui reparlaient d’amour.
Mais quand tombe le soir
nos vers de mirliton
n’empêchent plus de voir
l’horrible feuilleton.
Dernière mise à jour le 4 jours par André
Partager :
- Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur WhatsApp(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Pocket(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Plus
- Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Reddit(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Tumblr(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Telegram(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
Hélas… !!!
Oui nous nous contentons de leur donner les moyens de se battre mais les représailles ? Avec ce tyran nous pouvons peut être nous attendre à tout et que vont donner les élections ?
Entre espoir et crainte, entre ouverture et repli, les yeux mi-clos nous vivons …
Oui moment difficile et nous ne sommes pas les plus mal lotis !…
Pour le moment, car je crains que l’escalade folle ça ne s’arrête pas là…
Pour le moment, toujours au balcon. Mais jusqu’à quand ?