Le temps a coulé sous le pont,
les soupirs
n’ont pu retenir au balcon
les sourires.
La belle a quitté la maison,
ses désirs
partis avec ses illusions
vont mourir
avant la fin de la saison.
Le temps a coulé sous les aches
et jamais
le flot n’inversera sa marche
désormais
l’amant devenu patriarche
s’y soumet.
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joli! et en te lisant on peut penser… oh Dieu!… bien des choses, en somme! 😉
Que qui a du nez pense 😉 et que chacun lise comme il l’entend …