Embarqué un soir de novembre
sur un bateau de Colijnsplaat
un équipage de six membres
m’avait pris à bord mais sans hâte.
La nuit sur l’eau m’enveloppait
d’odeurs marines et de vent froid
les hommes au labeur attrapaient
dans le chalut leur lot de proies.
L’eau noire agitait l’estomac
du pauvre marin d’occasion
noyé dans son anonymat
et dans ses rêves d’évasion.
Quand au matin le chalutier
pour la criée toucha le quai
je ressentais pour le métier
de marin pêcheur du respect.
Embarqué un soir de novembre
sur un bateau de Colijnsplaat
un équipage de six membres
m’avait pris à bord mais sans hâte.
La nuit sur l’eau m’enveloppait
d’odeurs marines et de vent froid
les hommes au labeur attrapaient
dans le chalut leur lot de proies.
L’eau noire agitait l’estomac
du pauvre marin d’occasion
noyé dans son anonymat
et dans ses rêves d’évasion.
Quand au matin le chalutier
pour la criée toucha le quai
je ressentais pour le métier
de marin pêcheur du respect.
Dernière mise à jour le 2 semaines par André
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je traduis (et désolée pour le rythme un peu militaire, moi je chante ça de manière plus « douce » ;-)) 1. Tous ceux qui veulent aller en Islande pour attraper du cabillaud et pêcher à l’envi en Islande même après 33 voyages ils ne sont pas encore fatigués 2.quand vient le temps de la fête (fooi, de foor, la kermesse) on danse avec plaisir et on ne se plaint pas Mais quand vient le temps de reprendre la mer alors nous avons la tête fort chargée de soucis 3.Quand souffle le vent du Nord Nous allons au café et nous buvons sans… Lire la suite »
Les pêcheurs d’Islande, si chers à ma grand-mère bretonne …
Ceux que j’ai une fois accompagnés pêchaient la crevette dans la mer du Nord, partaient le soir pour rentrer au port le matin et vendre le produit de leur travail. Je ne suis pas sûr qu’il y ait encore des marins pêcheurs à Colijnsplaat, maintenant que le Deltaplan est achevé …
Le rythme est martial, mais le métier est si dur …