Le vent la pluie en contrepoint
du feu qui ronronne douillet
l’esprit s’envole il ne faut point
lui ravir le parfum d’œillets
volatil revenu de loin
des temps d’enfance où l’on cueillait
des brins de vie dans les recoins.
Dernière mise à jour le 2 semaines par André
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