Il faut aller aux promontoires
pour goûter la subite ivresse
des panoramas illusoires,
des horizons lourds de promesses.
À défaut, il faudra gravir
l’escalier raide d’un beffroi
jusqu’au sommet où tout chavire
dans le vertige des parois.
Pour vivre il faut monter toujours,
toujours repousser l’horizon,
tenter de voir d’où naît le jour
et puis se faire une raison.
Il faut aller aux promontoires
pour goûter la subite ivresse
des panoramas illusoires,
des horizons lourds de promesses.
À défaut, il faudra gravir
l’escalier raide d’un beffroi
jusqu’au sommet où tout chavire
dans le vertige des parois.
Pour vivre il faut monter toujours,
toujours repousser l’horizon,
tenter de voir d’où naît le jour
et puis se faire une raison.
Dernière mise à jour le 2 mois par André
Partager :
- Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur WhatsApp(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Pocket(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Plus
- Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Reddit(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Tumblr(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Telegram(ouvre dans une nouvelle fenêtre)