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Matin.

La lentement meurt de
sous le crachin
quand à l’Orient la lueur croît
du prochain.

L’ qui tombe n’est pas la ,
plutôt un bain
de bas et de suie,
de spleen urbain.

Le jour se lève malgré lui
d’un air chagrin
sur le bitume qui reluit,
rongeant son frein.

Les réverbères sont éteints,
les s’en vont
vers leurs embarras du .
Ils survivront.

La nuit lentement meurt de froid
sous le crachin
quand à l’Orient la lueur croît
du jour prochain.

L’eau qui tombe n’est pas la pluie,
plutôt un bain
de nuages bas et de suie,
de spleen urbain.

Le jour se lève malgré lui
d’un air chagrin
sur le bitume qui reluit,
rongeant son frein.

Les réverbères sont éteints,
les gens s’en vont
vers leurs embarras du matin.
Ils survivront.

Dernière mise à jour le 3 semaines par André

Posted in Blog, Poèmes
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Adrienne
18 janvier 2022 19:20

Ils survivront ? c’est vite dit 😉

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