Le pas lourd de gens tristes aux épaules voûtées
bat encore assourdi le pavé des ruelles
où de vieux murs patients restent comme envoûtés
au souvenir lointain des dépouilles mortelles
qui processionnaient vers leur part d’éternité.
Triste aujourd’hui le ciel s’accorde aux souvenirs
ne pouvant retenir une averse furtive
et nous passons pensifs occupés à gravir
les pentes d’un quartier où les chagrins survivent.
Le pas lourd de gens tristes aux épaules voûtées
bat encore assourdi le pavé des ruelles
où de vieux murs patients restent comme envoûtés
au souvenir lointain des dépouilles mortelles
qui processionnaient vers leur part d’éternité.
Triste aujourd’hui le ciel s’accorde aux souvenirs
ne pouvant retenir une averse furtive
et nous passons pensifs occupés à gravir
les pentes d’un quartier où les chagrins survivent.
Dernière mise à jour le 2 semaines par André
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