Petites sœurs, petites mères,
vous portez le poids de nos jours
le poids des guerres et des misères
le poids de nos manques d’amour.
Petites sœurs que l’on méprise
dont on use et dont on abuse
petites sœurs pourtant éprises
pauvres jouets dont on s’amuse.
Petites mères au cœur brisé
à chaque fils que l’on vous prend
aux plaies jamais cicatrisées
petites mères au cœur si grand.
Petites sœurs, petites mères
choisissez qui vous voudrez être
gamine ou septuagénaire
n’acceptez plus de vous soumettre.
Petites sœurs, petites mères,
vous portez le poids de nos jours
le poids des guerres et des misères
le poids de nos manques d’amour.
Petites sœurs que l’on méprise
dont on use et dont on abuse
petites sœurs pourtant éprises
pauvres jouets dont on s’amuse.
Petites mères au cœur brisé
à chaque fils que l’on vous prend
aux plaies jamais cicatrisées
petites mères au cœur si grand.
Petites sœurs, petites mères
choisissez qui vous voudrez être
gamine ou septuagénaire
n’acceptez plus de vous soumettre.
Dernière mise à jour le 3 semaines par André
Partager :
- Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur WhatsApp(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Pocket(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Plus
- Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Reddit(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Tumblr(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Telegram(ouvre dans une nouvelle fenêtre)