Printemps futile et solitude
aux couleurs vives,
bourgeons dont la sollicitude
attend les grives,
Vous éclorez en notre nom,
en notre absence,
tandis que nous nous confinons
devant l’urgence.
La grande lumière arrive,
après le gris
d’un hiver paresseux que suivent
des jours surpris.
Le printemps à présent s’envole
en nous laissant
prisonniers, enchaînés au sol,
obéissants.
Printemps futile et solitude
aux couleurs vives,
bourgeons dont la sollicitude
attend les grives,
Vous éclorez en notre nom,
en notre absence,
tandis que nous nous confinons
devant l’urgence.
La grande lumière arrive,
après le gris
d’un hiver paresseux que suivent
des jours surpris.
Le printemps à présent s’envole
en nous laissant
prisonniers, enchaînés au sol,
obéissants.
Dernière mise à jour le 3 semaines par André
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c’est vrai qu’aujourd’hui le confinement rimait avec beau temps 🙂