L’été, destination soleil!
L’horizon s’enchevêtre et le chemin se perd
Dans leurs yeux toujours un reflet …
ils vont sur les sentiers ombreux vivre le reste de leur âge.
Escaliers du ciel les nuages invitent à la montée …
Le calme revenu, la poésie oscille,
son long pas chaloupé me tenant par la main …
Derrière la colline aux versants fatigués …
Mal vêtu de tristesse et chaussé de colère,
un quidam confiné marche au cœur de la pluie …
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J’ai demandé à l’été
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Printemps futile et solitude
aux couleurs vives,
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Les lumières de maisons inconnues
Il faudra bien un jour partir …
La nuit tombe, et les temps sont froids.
vingt voix vingt femmes chantent …
Notre vie est un long fleuve aux méandres capricieux …
Les nuages au jardin ont éteint la lumière …
L’équinoxe fatal a surgi sans rien dire …
Brume opaline où peu à peu le gris s’étale …
Il y a quelques jours à peine, on s’échangeait des « bonne année ! » et des « meilleurs vœux ! »
Demain je franchirai la frontière invisible …